Un sursaut démocratique a permis un résultat des élections législatives plus prometteur pour notre pays. A condition que la nouvelle Assemblée nationale et le futur gouvernement, quel qu’il soit, entendent les vraies préoccupations des salarié(e)s. La Cfdt entend bien peser et agir en ce sens.


Proche aidant : une réalité sociale qu’il faut accompagner
Le vieillissement de la population, la volonté de l’inclusion sociale des personnes handicapées a amené le législateur et les structures sociales à reconnaître une fonction sociale de proche aidant occupée par de nombreuses personnes. Si le phénomène est nommé, ses impacts étudiés, les prises en compte des difficultés et leur accompagnement sont souvent négligés. Pour la Cfdt, l’entreprise doit tenir compte de ce phénomène social dans l’ensemble des champs de la négociation.

Négociation télétravail : c’est mal parti
La direction de Michelin veut réduire à 2 jours maximum par semaine le télétravail régulier et 10 jours par an le télétravail occasionnel. Elle se fonde sur un réquisitoire légitimant la décision tombée du CEG.

Hauts Potentiels chez Michelin : une sélection opaque et quelques effets de bord.
Historiquement, le diplôme est considéré en France comme un indicateur clé de savoirs acquis et d’ambition sociale. Pour autant, il n’est pas gage d’adaptabilité ni de savoir-être. Qu’en est-il chez Michelin ?

Intéressement : la Cfdt sera signataire de l’accord Michelin France 2025-2027
Une légère augmentation de l’assiette d’Intéressement nous a fait pencher favorablement…mais au prix d’une concession imposée par la Direction : pas un euro de plus en cas de Participation !

En déplacement, les contraintes devraient être compensées !
La Direction de Michelin ne reconnait toujours pas les contraintes personnelles subies par ses salariés lors de leurs déplacements professionnels. Si elle le faisait, elle pourrait leur accorder des compensations.

La Cfdt Michelin auditionnée à l’Assemblée Nationale
Le 9 avril dernier, Laurent Bador, notre Délégué Syndical Central, accompagné de Ludovic Robert secrétaire du syndicat Chimie-Energie Maine Anjou, témoignait devant la Commission d’enquête sur les « Défaillances des pouvoirs publics face aux plans de licenciements », à propos des fermetures de Vannes et Cholet.